mercredi 28 septembre 2016

Le Prix Jean-Giono rend sa première copie

Elle est tardive, cette copie, bien qu'elle précède celle de l'Académie française, dont deux membres - on ne dit pas "membre" pour académicien, je suis bien d'accord avec vous, mais le mot est venu ainsi, et après tout, pourquoi pas? - dont deux membres, je persiste donc, sont aussi jurés du Prix Jean-Giono.
Avec leurs camarades démembrés - euh... non, ça ne va pas du tout - non académiciens (français, car il y a des Goncourt, deux aussi, et un... juré Renaudot, et quelques autres, Bibliobs donne la liste chaque fois, j'ai moins de courage)...
Où en étais-je? Ah! oui, la sélection du Prix Jean-Giono, qui sera attribué le 10 novembre. J'arrête de me perdre, et peut-être vous en même temps, la voici.
  • Alain Blottière. Comment Baptiste est mort (Gallimard)
  • Guy Boley. Fils du feu (Grasset)
  • Adélaïde de Clermont-Tonnerre. Le dernier des nôtres (Grasset)
  • Jean-Baptiste Del Amo. Règne animal (Gallimard)
  • Éric Deschodt. Penjab (de Fallois)
  • Jean-Paul Dubois, La Succession (L’Olivier)
  • Stéphane Hoffmann. Un enfant plein d'angoisse et très sage (Albin Michel)
  • Hunzinger, Claudie. L'incandescente (Grasset)
  • Serge Joncour. Repose-toi sur moi (Flammarion)
  • Lossky, Olga. Le revers de la médaille (Denoël)

Et, bien qu'ayant négligemment titré cette note en évoquant une "première copie", j'ignore s'il y en aura une deuxième. On vous a dit quelque chose, à vous?
En tout cas, Gaël Faye est absent, pour une fois.

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