mardi 31 octobre 2017

Prix Virilo, honni soit qui mâle y pense

Fidèle au rendez-vous du Prix Femina, qu'il précédera de quelques minutes le 8 novembre, le Prix Virilo vient de communiquer ses sélections pour le prix qui porte son nom, doublé du Prix Trop Virilo. Et, comme trop n'est jamais assez, je vous fournis les listes telles que le jury les a données sur son site, parce que les bribes de commentaires valent leur pesant de testostérone - et que cela vous donnera en même temps les liens vers les critiques des livres. 
Donc, voici:

Prix Virilo
  • Le cénotaphe de Newton, de Dominique Pagnier (Gallimard)
  • La Toile, de Sandra Lucbert (Gallimard)
  • Un certain M. Piekielny, de François-Henri Désérable (Gallimard)
Le reste n’est pas publié par Gallimard, mais on a aimé quand-même :
  • Écume, de Patrick K. Dewdney (La Manufacture des Livres)
  • Fief, de David Lopez (Seuil)
Prix Trop Virilo
  • La chambre des époux, d’Éric Reinhardt (Gallimard), pour sa chimiothérapo-philie
  • Un élément perturbateur, d’Olivier Chantraine (Gallimard), pour une scène de photocopieuse qui donne ses lettres de noblesse au recto-verso
  • Tout sur le zéro, de Pierre Bordage (Au diable vauvert), qui n’écrit «sodomie» qu’assortie d’un «si j’ose dire»
  • Fief, de David Lopez (Seuil), parce qu’il n’y a pas de raison de ne pas recevoir les deux prix d’un coup
  • Ma mère avait raison, d’Alexandre Jardin (Grasset), par évidence
  • Nos vies, de Marie-Hélène Lafon (Buchet-Chastel), pour sa fascination mammaire

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